Nom : Greene Prénom's) : Beth Âge : 18 ans Date de naissance : 16 avril1995 Nationalité : Américaine Groupe : Rick's group Situation : Célibataire Métier avant l'apocalypse: Lycéenne Ma famille: Maggie - soeur ; Glenn - beau-frère
Une gourde, un journal intime, un petit couteau, l'alliance de sa mère, un kit de premier secours. Beth n'est pas une tueuse. Elle préfère la présence des enfants à celle des rôdeurs. Elle ne voit pas ces derniers comme des monstres et arrive même à trouver une part d'humanité dans ces cadavres ambulants et les respecte, même si elle n'hésite pas à les tuer pour de bon si nécessaire. Depuis sa tentative de suicide, elle essaie de trouver sa place mais reste en retrait des autres, même de sa soeur. De manière assez paradoxale, elle va pourtant se rapprocher de Daryl, l'exemple même du loup solitaire. Elle considère Carl et Judith comme ses cadets et est très protective envers eux. En atterrissant au Grady Memorial Hospital, elle se découvre plus calculatrice qu'elle ne le pensait. Elle fait aussi preuve de sang froid après avoir failli être abusé par un des membres du groupe. Elle se montre forte même si il lui arrive encore de sentir avec effroi le souffle de Gorman sur sa peau.
Je ne m'étais jamais considérée comme une survivante. Et je savais bien que les autres ne me voyaient pas non plus de cette manière. Certains pensaient sûrement qu'il aurait mieux fallu que je finisse ce que j'avais commencé chez moi. Mais j'étais là. Et je comptais bien vivre. Ou plutôt, survivre.
J'avais du mal à me rappeler comment était la vie avant que le monde change de manière si drastique. La plupart du temps, ce passé ne me revenait qu'en rêve pour la simple et bonne raison que j'avais appris à accepter l'existence qu'était dorénavant la mienne. Il n'y aurait plus de sortie entre amis, d'interrogation au lycée ou même encore, de dîner de famille comme j'en avais connu. Une partie de moi regrettait ces jours, leurs légèreté et l'avenir radieux qu'ils annonçaient. J'avais tout eu pour être heureuse : une famille aimante, un petit-ami plutôt parfait. J'étais une bonne élève, une bonne chrétienne. Certainement trop surprotégée par mon père, je n'étais pas aussi forte que ma sœur. Maggie avait toujours eu un caractère bien plus dur que le mien. Je voyais toujours le côté positif des choses là où elle ne se heurtait qu'à la brute réalité. Autant dire que l'arrivée des morts-vivants creusa le fossé entre nous. Sans pour autant m'en éloigner, je comprenais que nous n'étions pas les mêmes. Et c'est en perdant ma mère que je me perdis moi aussi en quelque sorte. J'avais jusque-là cru qu'un retour en arrière était possible. Qu'un jour, tout cela cesserait et que l'obscurité laisserait place à la lumière de nouveau. La perdre anéanti tous mes espoirs. Elle n'était plus là, la plupart des gens que je connaissais aussi étaient partis. Je ne comprenais tout simplement pas où était l'intérêt de rester. Je n'avais pas envie de me battre pour une cause perdue, ni voir les gens que j'aimais tomber les uns après les autres. L'arrivée de Rick et des autres me fit retomber sur terre. En dehors de la ferme, c'était le chaos. Et je ne pouvais pas rester dans ma bulle plus longtemps.
J'avais voulu mourir. Il n'y avait rien de surprenant à cela, qui n'avait pas envisager cette possibilité ? Je n'étais pas une battante, en tout cas, pas au sens propre du terme. Je n'avais jamais aimé le combat, ni même le conflit. Je n'avais pas l'âme d'une meneuse, j'étais plus timide et réservée et certainement que mes épaules étaient trop frêles pour supporter un tel poids. Je ne trouvais pas ma place dans ce nouveau monde. Et quitte à devoir tous le quitter un par un, autant que je décide de la manière dont cela se produirait. Pourquoi partir dans la souffrance et dans la peur ? Je pouvais mourir chez moi, entourée de mes proches. Même si Maggie et Andrea avaient essayé de m'en dissuader, j'avais tenté de mettre fin à mes jours. Et alors que la lame glissait sur la peau fine de mon poignet, ce fut comme un électrochoc. Je voulais vivre. Je voulais vivre parce que je refusais que tout cela me résume. Je ne voulais pas qu'on se rappelle de moi comme une enfant faible et pleurnicharde. J'étais autre chose, du moins, je l'avais été. Je voulais retrouver le chemin de la lumière et ramener l'espoir. Et si c'était impossible, et bien, j'essaierai plus fort, encore.
Il n'y avait pas de meilleur moyen d'apprendre à se connaître vraiment que par le biais d'une apocalypse. Avant que le monde change de manière irréversible, je pensais aimer la vie. Mais je n'étais pas morte ce jour-là. Et depuis, j'avais tout fait pour trouver un sens à tout ça, à me rendre utile. Je continuais de perdre des gens mais j'apprenais à prendre mes distances par rapport à ça. Je ne voulais pas retomber dans cette dépression qui m'avait fait douter de tout, de moi. L'arrivée à la prison me permit de me rendre utile. Je me rapprochais des enfants, je trouvais une certaine sérénité à leurs côtés. Peut-être que j'aimais retrouver un peu de mon innocence passée à leurs côtés. Et puis, je n'arrivais pas à m'attacher comme Maggie l'avait fait avec Glenn. Se donner inconditionnellement à quelqu'un était trop dangereux à mes yeux. Tout le monde nous quittait un jour, jusqu'à ce que ça soit notre tour. Je n'avais pas envie de revivre ça. Ça ne m'empêchait pas de m'attacher. Je considérais Judith comme ma petite sœur et c'était vers elle que toute mon attention et mes soins allés. Elle m'apparaissait comme un vrai petit miracle. Si ce n'était pas la preuve que subsistait la bonté et l'amour... J'avais une confiance inébranlable en Rick. Et même si je l'aimais toujours autant, j'avais appris à m'émanciper de mon père. Je comprenais son envie de me préserver, mais je devais grandir, il ne pouvait pas l'empêcher. J'avais déjà perdu trop de temps à nier cette horrible vérité.
J'aurais apprécié finir mes jours dans cet endroit. C'était drôle en y pensant. Nous avions trouvé notre havre de paix dans une prison. Papa avait tellement tout fait pour que je ne finisse pas dans ce genre d'endroit. La quitter a été l'un de pire moment de ma courte vie. Parce que je l'avais perdu lui aussi ce jour-là. J'avais essayé de sauver les enfants mais rien ne s'était passé comme prévu. Entre les cris et les détonations, mais yeux avaient cherché ce petit être si fragile que je voulais protéger plus que tout. Mais même ça, j'en avais été incapable. J'avais laissé Daryl m'emmener, résignée à tout abandonner. Une nouvelle fois.
Daryl. Dieu nous envoyait ce dont nous avions besoin d'une manière bien subtile. Lui aussi avait tant perdu. Il était le survivant. Celui qui resterait le dernier debout. C'était à lui que je pensais le plus souvent maintenant. Je n'oubliais pas les autres, mais Daryl me manquait. Malgré toutes les différences, j'avais l'impression qu'il m'avait compris, et que je l'avais compris en retour. Lui non plus n'aimait pas dire au revoir. Et derrière cet air de dur à cuir, il y avait un être sincère et bon qui faisait tout ce qui était possible pour assurer la sécurité des autres. J'avais découvert Daryl dans une forêt. Je l'avais réellement rencontré après m'être montrée immature et imprudente, à la recherche d'alcool, ce liquide qui m'avait toujours été interdit. Perdre mon père de cette manière, si soudainement, m'avait donné envie de vivre, et de vivre vite. Il s'était plié à cette exigence puérile, répondu à mes indiscrétions. Il m'avait fait peur aussi ce soir-là, mais ça lui avait été nécessaire. J'aimais sa manière désinvolte de prendre soin de moi. Son aptitude à me voir au-delà des apparences. Je n'avais pas l'impression d'être seulement faible et innocente pour lui. Je me sentais plus forte. Plus femme aussi.
Depuis mon réveil dans cet hôpital, loin de tout ceux que je connaissais, je repensais encore à ce dernier regard qu'il m'avait lancé avant de m'intimer l'ordre de prendre la fuite. Je n'avais pas voulu le laisser seul. Et je n'aurais pas du. Est-ce qu'il me cherchait ? Avait-il retrouver les autres ? Je n'en avais aucune idée. La seule certitude que j'avais, c'était que j'allais tout faire pour quitter cet endroit. Quoiqu'il m'en coûte.
AND YOU ?!
Hello ! Derrière mon personnage qui ressemble à deux goûtes d'eau à Emily Kinney, je suis en réalité un(e) fille, j'ai 22 ans. Je m'appelle Pauline mais on me nomme aussi Pop's sur la toile. Ma présence sur le forum sera de 6/7. Je fais environs 80-100 lignes. J'ai connue le forum grâce à une amie. Code du règlement: OK par CAROL. Mon mot de la fin sera Oops!.
Infos de baseMessages : 292 Date d'inscription : 31/10/2014 Localisation : Georgia
Sujet: Re: Beth Greene - "The pain doesn't go away...you just make room for it." - Done Ven 12 Déc - 23:58
Coucou bienvenue a toi jolie blondinette Comme tu as vue tu es en concurrence pour le rôle mais, rassure toi tu as toutes tes chances ma belle Ton code de règlement n'est pas bon je t'invite donc a bien chercher
Infos de baseMessages : 20 Date d'inscription : 12/12/2014
Sujet: Re: Beth Greene - "The pain doesn't go away...you just make room for it." - Done Sam 13 Déc - 0:06
Oh pardon, je croyais avoir bien fait attention mais il m'en manquait un! Je crois que c'est bon cette fois-ci? C'est gentil merci Je préférais tenter, histoire de ne pas regretter par la suite. La fiche de ton amie est en tout cas très belle et j'ai hâte de lire la suite
Infos de baseMessages : 152 Date d'inscription : 31/10/2014
Sujet: Re: Beth Greene - "The pain doesn't go away...you just make room for it." - Done Sam 13 Déc - 8:45
Beth !!!!! Je suis content de te voir sur le forum !!! Bon courage pour ta fiche de présentation, n'hésite surtout pas si tu as des questions !! Que la meilleure gagne !
Infos de baseMessages : 129 Date d'inscription : 19/11/2014 Localisation : en enfer.
Sujet: Re: Beth Greene - "The pain doesn't go away...you just make room for it." - Done Sam 13 Déc - 13:34
SALUT BLONDIE ! Je me disais aussi, des jumelles ! Que la meilleure gagne ! Au passage, tu as bien fait d'essayer, il ne faut pas regretter sinon ce serait bien triste. ALLER, BONNE CHANCE MA JOLIE.
Infos de baseMessages : 152 Date d'inscription : 31/10/2014
Sujet: Re: Beth Greene - "The pain doesn't go away...you just make room for it." - Done Dim 14 Déc - 17:56
Hello Beth,
Carol et moi avons beaucoup discuté de vos deux fiches et nous avons pris notre décision. Tu es donc la Beth que nous avons choisie ! L'histoire est parfaite, j'adore ton style d'écriture. Enfin j'aime tout. Il y a juste une petite chose avant de te validé, dans ton sac tu dois avoir maximum cinq objets différents.
Infos de baseMessages : 152 Date d'inscription : 31/10/2014
Sujet: Re: Beth Greene - "The pain doesn't go away...you just make room for it." - Done Dim 14 Déc - 18:08
Fait attention a ton cul maintenant, les zombies risque d'avoir une petite faim !
Congratulations !
Tu es officiellement Validé(e) survivant(e)
Et oui, l’étape cruciale de la présentation est terminée pour toi mon petit survivant ! Tu as respecté les différentes demandes et nous trouvons que ton histoire est franchement géniale! Évidemment, nous ne pouvons pas te laisser vagabonder sur le forum sans quelques recommandations. Il est important pour toi de recenser ton avatar puisque sinon, n’importe qui pourrait le croire libre. Ensuite, les demandes diverses sont obligatoires. La création de ta fiche de Rp et de lien est également nécessaire pour le bon fonctionnement du rp. Il serait préférable que tu crées ta fiche avant d’aller demander des liens aux autres. Sur ce, bon jeu ! Et surtout attention aux zombies !